Quand même l’énumération ne serait pas complète, cela n’infirmerait en rien la méthode que j’expose. […] Mabilleau, dans le volume qu’il a consacré à Victor Hugo (Collection des grands écrivains français), a heureusement appliqué cette méthode.
Il puisa dans cette grande école ce souffle qui en était l’âme à l’origine, l’amour vrai de la science et une confiance sincère dans les efforts de l’esprit humain dirigé par les méthodes. […] Il ne voyait pas dans les affaires les ennemis naturels des recherches littéraires et scientifiques telles qu’il les concevait, et il semblait qu’en changeant ainsi de sujet, il ne faisait que varier les applications d’un même esprit de méthode et de détail.