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400. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre VIII. La question de gout ce qui reste en dehors de la science » pp. 84-103

La tâche, même ainsi bornée, est encore assez délicate, et ce n’est pas trop de plusieurs méthodes, qui se corrigent et se complètent l’une l’autre, pour mesurer, peser, jauger, par une série de calculs approximatifs, ces produits si complexes de l’esprit humain. […] § 5. — La première méthode qui s’offre à lui consiste à consulter les jugements antérieurs. […] Pourtant, fût-on doué de la sympathie la plus large et la plus sûre, la méthode que nous avons indiquée pour mesurer la valeur d’une œuvre littéraire est un secours qui n’est point à dédaigner.

401. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Herbert Spencer — Chapitre I : La loi d’évolution »

Que notre harmonieux univers ait autrefois existé, en puissance, à l’état de matière diffuse, sans forme, et qu’il soit lentement arrivé à son organisation présente, cela est beaucoup plus étonnant que ne le serait sa formation, suivant la méthode artificielle que suppose le vulgaire. […] Si l’on oppose à la science sous sa forme la plus précise, celle des mathématiques, nos modes de penser journaliers où il n’y a point de méthode, le contraste est frappant. […] Il n’est point favorable, on le prévoit, à, « la bâtarde méthode a priori » des deux premiers.

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