Ses Poésies Françoises fourmillent de Latinismes, & n’ont de mérite que celui de la naïveté, naïveté bien au dessous de celle de Marot qu’il avoit voulu aussi imiter.
Ces deux derniers Ouvrages sont d’un homme qui, au mérite des connoissances, joint celui de les présenter avec réserve & modestie.