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1626. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre III. L’Âge moderne (1801-1875) » pp. 388-524

. — La mort de sa mère, 1798 ; — et la conversion de Chateaubriand. — Il conçoit l’idée de son Génie du christianisme. — Retour en France, 1800. — Publication d’Atala, 1801 ; — et du Génie du christianisme, 1802. — La seconde édition du livre et la dédicace : « Au citoyen premier consul. » — Chateaubriand est nommé secrétaire d’ambassade à Rome ; — ministre en Valais ; — et donne sa démission à l’occasion de l’exécution du duc d’Enghien. — La préparation des Martyrs et le voyage d’Orient. — Publication des Martyrs, 1809 ; et de l’Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811. — Élection à l’Académie, 1811. — L’Empereur refuse d’approuver son Discours de réception, — et achève de s’en faire un irréconciliable ennemi. — La brochure : De Buonaparte et des Bourbons, 1814 ; — et comment le succès en jette Chateaubriand de la littérature dans la politique. — Son œuvre est désormais terminée ; — quoi qu’il y puisse ajouter en volume ; — et, après les déboires que lui ménage le gouvernement de la Restauration, — il n’aura plus pendant vingt-cinq ans qu’à suivre les effets de son influence ; — qu’un poète [Th.  […] X. — Alphonse-Marie-Louis Prat de Lamartine [Mâcon, 1790 ; † 1869, Paris] 1º Les Sources. — Lamartine lui-même, dans sa Correspondance, publiée par Mme Valentine de Lamartine, 1re édition, 1873-1875 ; et 2e édition, 1881-1882 [plus complète, mais très incomplète encore] ; — ses Confidences, 1849 ; — ses Nouvelles confidences, 1851 ; — ses Mémoires inédits [1790-1815], 1870 ; — et Le Manuscrit de ma mère, 1871. […] Sa jeunesse et ses débuts. — Son origine ; — et qu’on pourrait aisément retrouver en lui du Tourangeau ; — si d’ailleurs on ne savait que sa mère était parisienne, — et son père languedocien. — Son éducation au collège de Vendôme [Cf.  […] La jeunesse de Victor Hugo. — La famille du poète et les Hugo de Lorraine ; — sa mère « Vendéenne » ; — et à ce propos qu’il ne faut guère accorder plus de confiance à Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie qu’aux Confessions de J.

1627. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Bernardin de Saint-Pierre »

J’aime mieux y voir ce qui est fait pour attendrir, la pauvreté et la détresse ôtant à la dignité du génie, ce génie ne craignant pas de mendier comme une mère pour l’enfant qu’elle sent près de naître, le peintre ne demandant qu’un gîte, le vivre et une toile pour déployer à l’aise ses couleurs et ses pinceaux : « J’ai à mettre en ordre des matériaux fort intéressants, et ce n’est qu’à la vue du ciel que je peux recouvrer mes forces.

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