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612. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Les petites revues » pp. 48-62

Ce dernier poème vaut d’autant mieux d’être reproduit qu’il ne figure pas dans le recueil des Poèmes paru depuis : LE RÊVE DE LA REINE La reine aux cheveux d’ambre, à la bouche sanglante, Tient de sa dextre longue ouvert le vitrail d’or, Pensant que l’heure coule ainsi qu’une eau trop lente. […] La Vogue de d’Orfer ne fournit pas une longue carrière.

613. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « Conclusions » pp. 169-178

La tradition veut que ces sortes de solennités se succèdent de dix ans en dix ans, mais on s’est rendu compte que leur développement progressif exige, désormais, une plus longue gestation. « Si nous remettions cela à vingt ans ?  […] La liste serait trop longue.

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