Au lieu de courir la campagne, de se médicamenter l’esprit par un exercice violent et calmant, le grand air, une tâche quotidienne simple, il reste de longues après-midi d’été couché dans les foins à rêvasser périlleusement : « Et moi je me dis : Voici que je suis couché près de cette meule.
… L’histoire de ce « Tacite de la Révolution », pour lui conserver le nom de Tacite que Burke lui a donné, n’est pas très longue, mais quelle plénitude dans sa brièveté !