Il est noble, majestueux, et tout à la fois plein d’innocence et de génie ; il est tel que le peignent les livres saints, digne d’être respecté par les anges et de se promener dans la solitude avec son Créateur. […] Il y a encore un autre passage où ces amours sont décrites : c’est au viiie livre, lorsque Adam raconte à Raphaël les premières sensations de sa vie, ses conversations avec Dieu sur la solitude, la formation d’Ève, et sa première entrevue avec elle.
L’écritoire, les livres, les accessoires aussi bien qu’il est possible, quand on a voulu la couleur brillante et qu’on veut être harmonieux. […] Les larmes qu’elle arrache de nos yeux tombent sur les feuillets froids d’un livre.