Il leur reproche, à ces livres : « trop de jolie rhétorique, trop de morceaux de littérature, trop d’airs de bravoure ». […] populaires en littérature ; — car c’est toujours un malheur que d’être populaire. […] Or, ils le sont, MM. de Goncourt, malgré le fond d’un talent à cent mille lieues de la popularité par la distinction dont il brille… Mais aussi ce n’est point à ce talent, que personne ne goûte plus que moi, qu’ils doivent la faveur dont ils jouissent dans la littérature contemporaine.
— Comme les autres écrivains qui ont discuté l’influence de la littérature ancienne sur l’intelligence des générations modernes, M. […] Il tient à ce que l’enfant soit littérairement et même philosophiquement chrétien dans sa mesure enfantine, avant de pénétrer dans la littérature et la civilisation païenne. Il désire que les sciences morales et dogmatiques l’emportent dans l’éducation sur les sciences expérimentales et naturelles, et il rédige ainsi son programme : « La littérature prise dans les saints Pères avant de passer à l’étude de l’Antiquité ; la philosophie avant la rhétorique, et surtout la science parfaite et solide des doctrines théologiques, puisées dans les auteurs approuvés par le Saint-Père. » Quelle plus grande simplicité !