Nous sommes tous écrasés par l’histoire des littératures.
Ce serait à peu près, Messieurs, comme si, voulant trouver la différence qui existe entre deux genres de littérature très divers, le tragique et le comique, par exemple, on pensait y arriver en décomposant tous les mots qui forment une tragédie et une comédie en leurs derniers éléments, qui sont les lettres de l’alphabet, et qu’après avoir compté ces éléments, on constatât qu’il y a plus d’a, de b ou de toute autre lettre de l’alphabet dans la comédie que dans la tragédie.