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1403. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre premier »

Effets du mépris des deux antiquités sur la littérature du dix-huitième siècle. […] En littérature, elle a suivi les créations ; les règles ne sont que les raisons du plaisir que nous prenons aux beautés des lettres. […] » Quand on raisonne si légèrement sur l’art et la littérature, il n’est pas étonnant qu’on soit mauvais juge de l’antiquité classique. […] Effets du mépris des deux antiquités sur la littérature française au dix-huitième siècle.

1404. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Charles-Victor de Bonstetten. Étude biographique et littéraire, par M. Aimé Steinlen. — III » pp. 455-479

Il rendait pleine justice à sa merveilleuse intelligence ; « J’ai l’avantage de trouver à Coppet une critique impartiale ; c’est aussi un art de tirer parti de la critique ; souvent je persiste dans mon opinion ; mais Mme de Staël est si libre de préjugés, si claire, que je vois mes tableaux dans son âme comme dans un miroir. » Le Voyage dans le Latium, publié à la fin de 1804, eut du succès, et décida de la rentrée de Bonstetten dans la littérature française. […] Prenez quelque cours de littérature, si vous trouvez quelque homme qui en soit digne. […] Une étude de Mlle de Klustine sur la littérature russe, je crois, avait été insérée dans la Bibliothèque universelle de Genève : Votre article fa furore.

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