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49. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Le Poëme des champs par M. Calemard de Lafayette. »

Il va sans dire, dans le raisonnement de la plupart, que cela suffit, et que qui les lira les louera. […] Qu’on lise, au début du volume, ces Conseils d’un homme qui a éprouvé la passion et qui en signale les périls et le malheur à un ami vrai ou supposé. […] Tu veux lire en mes yeux, — simplicité funeste ! […] Je lis avec plaisir son recueil : tout ce qui est sincère porte en soi son charme. […] Il faut lire toute la tirade.

50. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Victor Hugo, Toute la Lyre. »

J’ai lu sans interruption Toute la Lyre, et je ne sais plus guère où j’en suis. […] Qu’ai-je donc lu, en somme ? […] Voici un jeu que je propose aux rares honnêtes gens qui ont vraiment lu les poètes contemporains. […] C’est une joie absolument pure que de lire de tels vers. […] Pour moi, chacun d’eux me paraît, au moment où je le lis, le plus grand des trois.

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