Lebrun), m’a dit, en m’en recommandant la lecture : « Lisez jusqu’au bout ; le miel n’est pas au bord, mais au fond du vase ».
C’est là qu’il me lut Diogène, à une table de cabaret, sous une allée de lilas ; la comédie lyrique, satirique, aristophanesque, infiniment jeune et audacieuse m’intéressa extrêmement, et la personnalité de l’auteur encore plus.