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1831. (1862) Notices des œuvres de Shakespeare

Il avait des chances d’y arriver légitimement, les fils de Duncan n’étant pas encore en âge de régner et la loi d’Écosse portant que si le roi mourait avant que ses fils ou descendants en ligne directe fussent assez âgés pour prendre le maniement des affaires, on élirait à leur place le plus proche parent du roi défunt. […] Qu’on lise, dit Malone, quelques lignes d’Appius et Virginia, de Tancrède et Sigismonde, de la bataille d’Alcazar, de Jéronimo, de Sélim, de Locrine, etc., et en général de toutes les pièces mises sur la scène avant Shakspeare, on reconnaîtra que Titus Andronicus porte le même cachet.

1832. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome III pp. -

On sçait qu’ils font de leur compatriote « l’hercule de la fable, à qui les ignorans attribuèrent tous les faits des autres héros. » Léibnitz fut d’abord attaqué sur la ligne de la plus courte descente. […] Les carmes, selon eux, descendent de ce prophète en ligne directe : c’est ce prophète qui les a fondés sur le Mont-Carmel.

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