Le chapitre IV de la première partie, intitulé Prisons d’Angleterre (les Pontons), renferme les plus curieux détails sur les mœurs des prisonniers sur les amours des corvettes avec les forts-à-bras, — en un lieu, dit l’auteur, où, pourtant, « il n’y avait qu’un sexe ».
Nous verrons donc des moutards antiques jouer à la balle antique et au cerceau antique, avec d’antiques poupées et d’antiques joujoux ; des bambins idylliques jouer à la madame et au monsieur (Ma sœur n’y est pas) ; des amours enfourchant des bêtes aquatiques (Décoration pour une salle de bains) et des Marchandes d’amour à foison, qui offriront leur marchandise suspendue par les ailes, comme un lapin par les oreilles, et qu’on devrait renvoyer à la place de la Morgue, qui est le lieu où se fait un abondant commerce d’oiseaux plus naturels.