Sans doute, il faut avoir foi dans l’avenir et croire à un temps meilleur, où la science physiologique, mieux constituée, permettra à la généralisation un plus libre essor ; mais c’est à la préparation de cet avenir qu’il faut travailler, et nous sommes intimement convaincu qu’il n’y a pas aujourd’hui de moyens plus efficaces d’accélérer les progrès de la physiologie que d’y faire des découvertes. […] Puis alors on passe le doigt de la main gauche sous le tronc, on y fait une incision en même temps qu’on empêche l’issue du sang, soit en prenant l’artère, soit en soulevant l’autre fil resté libre.
En outre, le poète est beaucoup plus libre avec les légendes qu’avec l’histoire : il lui suffit de s’inspirer de l’idée qu’il croit y reconnaître ; il la développe ensuite à sa guise, comme ont fait à travers les siècles ceux qui nous les ont transmises en les variant à l’infini.