Et pour ce grand acte d’indépendance, pour prix de cette incomparable faveur, de cette manifestation généreuse, voilà que ces pauvres comédiens français sont appelés méchantes bêtes, par celui qui leur doit son entrée libre et formelle dans une voie généralement hérissée de dégoûts, de haines, de jalousies à ses abords !
Ce qu’on a appelé le vers libre est aujourd’hui quelque chose de tout à fait abandonné.