Les Goncourt s’inquiètent de l’intrusion de la femme dans la vie de l’artiste, lui reprochent d’amollir les courages, d’éteindre l’inspiration, d’étouffer le libre génie. […] C’est qu’alors son expression est libre, à travers les secousses et le désordre de l’État et l’indifférence de l’opinion, embesognée ailleurs.
Libre, il dormira tout le jour, ou il ira comme l’enfant courir les bois. […] Sera-t-il dit que l’homme sera devenu incapable de dompter tout l’univers, parce qu’il est devenu trop tôt libre ?