Kant, disent-ils, a fait « découler la liberté, l’Homme-Dieu, du beau principe désintéressé qui est pour lui comme l’honneur de l’humanité et la clef de voûte de sa philosophie : le devoir », Évidemment, il n’y a plus rien à dire.
La liberté de cette peinture hardie, sa minutie psychologique, l’art brillant avec lequel elle est exécutée doivent assurément charmer le dilettante.