amèrement, ô vie… ………………………………………………………… Et vous, naïf orgueil de mon jeune visage, Et vous, souple fraîcheur de mes bras ronds et nus… ………………………………………………………… Mais non, ce n’est pas vous, grâce de ma jeunesse, Ni vous, ô liberté, rêve de mon cœur fier, Que je verrai s’enfuir dans un sanglot amer, Mais vous, mais vous !
Il faut qu’ensuite la liberté de notre sentiment à la traduire soit aussi complète.