Je puis donc apprécier en toute liberté les lignes dédaigneuses que vous lui accordez dans le dernier numéro de la Plume.
Quelque chose s’était rompu entre les deux hommes quelque chose qui avait donné la liberté à la méchanceté du critique, et, aussi, à son goût. […] La plus fine remarque de Nietzsche sur Voltaire est celle-ci : il a été un des derniers hommes qui savent réunir en eux la plus haute liberté d’esprit et une disposition d’esprit absolument non-révolutionnaire .