Archives nationales, K, 1453, n° 1448 : Lettre du 12 juin 1789 de M. de Meulan ; ce droit sur les grains appartenait alors au comte d’Artois. — Chateaubriand, Mémoires , I, 73.
On appelait le chant, alors, tout ce qui parle, tout ce qui exprime, tout ce qui peint à l’imagination, au cœur, aux sens, tout ce qui chante en nous, la grammaire, la lecture, l’écriture, les lettres, l’éloquence, les vers, la musique ; car ce que les anciens entendaient par musique s’appliquait à l’âme autant qu’aux oreilles.