Le latin, le grec, les comparaisons classiques et toutes ces choses bonnes, quand elles font chair et sang avec notre pensée, ne disparaissent pas dans M.
Gogol a beau vouloir n’être que Russe, il a beau regimber contre l’influence française et l’influence allemande, il les porte tous les deux sur sa pensée : il a appris le latin dans Richter et dans Voltaire.