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386. (1853) Portraits littéraires. Tome I (3e éd.) pp. 1-363

Hugo une singulière puissance dans le maniement de la langue. […] Entre la langue des Odes et Ballades et la langue des Orientales, il y a un abîme. […] Mais, si la langue obéit, elle reçoit bien rarement des ordres qui relèvent de la pensée. […] Il est maître de la langue, il dit tout ce qu’il veut ; que lui manque-t-il ? […] Aujourd’hui l’étude des langues modernes jouit dans le monde d’une popularité souveraine.

387. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 325

Boivin, [Jean] Professeur Royal en Langue Grecque, Garde de la Bibliotheque du Roi, né à Montreuil d’Argilé, mort à Paris en 1726, âgé de 64 ans. Ce ne sont pas ses Vers Grecs, Latins ou François, qui le placent parmi nos bons Littérateurs : ces productions annoncent dans lui moins de talens pour la Poésie, que de facilité pour écrire dans ces trois langues.

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