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43. (1824) Ébauches d’une poétique dramatique « Division dramatique. » pp. 64-109

Les questions d’Acomat laissent entrevoir une partie de ses projets. […] En un mot, partout il se faut laisser conduire par la vraisemblance, comme par la seule lumière du théâtre. […] Va, laisse-moi mourir. […] Va, laisse-moi mourir. […] Dis-lui…Qu’en sa faveur vous laissez vivre Auguste.

44. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Horace Vernet (suite et fin.) »

La sérénité de son ciel se voilait, les ombres avançaient et se projetaient devant lui, mais c’était par degrés qu’elles se faisaient, et elles laissaient place encore à quelques belles et bonnes heures. […] La triste et funeste tournée de la Dobrutscha qu’il fit avec l’armée lui avait laissé les plus pénibles impressions. […] Sur quoi le maréchal lui aurait répondu, sans amertume d’ailleurs et sur un ton de gaieté militaire qui ne laissa pas cependant de le froisser : « Ah ! […] Donnez votre pinceau. » — Et il se met devant la toile, et il fait le cheval, non sans donner quelques petits coups de pinceau encore à droite et à gauche, et laisse le jeune homme confus et reconnaissant. […] France, tant que tu resteras France, un pays distinct et une patrie, ne répudie jamais tes enfants sincères, les plus naturels, les plus légitimes ; ne te laisse pas aller à en décourager la race en la dédaignant.

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