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521. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — W. — article » p. 523

. ; connu par une Grammaire Françoise, où, parmi quelques observations assez justes, & des regles assez bien développées, on trouve des choses minces, des définitions obscures, des principes mal conçus, & quelquefois ce qu'on appelle du galimatias.

522. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Jean-Jacques Ampère »

On ne saurait contester cependant que des littérateurs instruits et consommés, tels que Chapelain, Ménage et l’abbé Regnier des Marets, ne fussent sur la voie d’une juste comparaison à établir entre la littérature française et les littératures du midi. […] On aurait été aux voix dans les rangs du Globe pour élire un envoyé littéraire auprès de Goethe que l’on n’aurait pu tomber plus juste ni mieux choisir. […] Je viens de la relire après quarante ans : je ne sais rien de plus vif, de plus léger, de plus juste dans la touche et dans le dessin. […] Comme c’était juste en général, composé, suivi, pénétrant, non visant à l’effet, tiré de l’examen même des écrits et du fond direct des lectures, d’une interprétation toujours nette et la plus vraisemblable ! […] L’auteur se risquait à y prédire la fondation d’une ville, d’une Alexandrie colossale qui serait un jour la reine des cités de l’univers ; et si elle se fonde jamais, il ne sera que juste en effet qu’une des plus grandes rues y porte le nom d’Ampère.

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