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802. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Mémoires touchant la vie et les écrits de Mme de Sévigné, par M. le baron Walckenaer. (4 vol.) » pp. 49-62

En vain Mme de Sévigné essayait quelquefois de le modérer dans son zèle de bons offices et de correspondance : Vous jugez bien, écrivait-elle à sa fille, que puisque le régime que je lui avais ordonné ne lui plaît pas, je lâche la bride à toutes ses bontés et lui laisse la liberté de son écritoire. […] C’était le seul théâtre que la jeune femme jugeât digne de ses triomphes.

803. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface du « Roi s’amuse » (1832) »

Devant l’opinion publique, le procès est déjà jugé et gagné. […] Quand on a toute liberté, il sied de garder toute mesure12. » Jugez maintenant.

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