En vain Mme de Sévigné essayait quelquefois de le modérer dans son zèle de bons offices et de correspondance : Vous jugez bien, écrivait-elle à sa fille, que puisque le régime que je lui avais ordonné ne lui plaît pas, je lâche la bride à toutes ses bontés et lui laisse la liberté de son écritoire. […] C’était le seul théâtre que la jeune femme jugeât digne de ses triomphes.
Devant l’opinion publique, le procès est déjà jugé et gagné. […] Quand on a toute liberté, il sied de garder toute mesure12. » Jugez maintenant.