Et le roman se termine par un jugement de Dieu, devant un tribunal où, en champ clos, les deux femmes, soutenues par le cadet, combattent et tuent l’assassin, à la suite de quoi le valeureux frère est fait samouraï par un daïmio.
L’écrivain est trop jeune pour qu’on puisse porter sur son œuvre un jugement qu’on pourrait être obligé de modifier demain.