/ 1603
788. (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Dominique par M. Eugène Fromentin »

Son but est complexe ; c’est à nous, lecteurs et raisonneurs, qu’il laisse le soin de le dégager ; il se contente de le résumer de la manière la plus générale, lorsqu’il dit à celui de ses amis auquel il adresse le Journal de ses impressions : « Admets seulement que j’aime passionnément le bleu, et qu’il y a deux choses que je brûle de revoir : le ciel sans nuages, au-dessus du désert sans ombre. » Parti de Médéah dans la direction du sud, il va traverser le pâté de montagnes qui le sépare du désert, et il ne nous laisse rien perdre, chemin faisant, de la physionomie du paysage. […] Dans tout cela, rien de farouche et qui fasse penser au voisinage des lions. » La première veillée de bivouac (à El-Gouëa, autrement dit la Clairière), est bien rendue, et rappelle, pour le ton, le Journal de Chateaubriand voyageant dans les forêts américaines.

789. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Réminiscences, par M. Coulmann. Ancien Maître des requêtes, ancien Député. »

Coulmann ; dès le lendemain il est pour la Charte ; il écrit dans les journaux, dans L’Ami du Roi . […] L’intention était bonne ; mais ces articles de journaux ne valaient réellement pas la peine qu’il les réimprimât.

/ 1603