Le Peintre de Saltzbourg, journal des émotions d’un cœur souffrant, suivi des Méditations du Cloître, 1803. […] Il y inséra, sur la langue et la littérature du pays, de nombreux articles dont on peut prendre idée par ceux qu’il mit plus tard dans le Journal des Débats 183. […] Il entra dans la rédaction des Débats, alors Journal de l’Empire, et que dirigeait encore M. […] Il demeura jusqu’en 1820 dans la rédaction des Débats, et ne passa qu’alors à celle de la Quotidienne, sans préjudice des journaux de rencontre. […] Journal de L’Institut historique, 2e livraison.
» tous les autres journaux, grands et petits, crient : « Assomme ! […] Je crois avoir raconté quelque part, que tout enfant, mon père m’emmenait dans un cabinet de lecture du passage de l’Opéra, puis après avoir parcouru les journaux, me laissait presque toujours, sur ma demande, enfoncé dans la lecture d’un roman, où, en ce temps, il était éternellement question de palicares héroïques. […] En lisant ces jours-ci les journaux de toutes couleurs, indiquant les précautions qu’il y avait à prendre contre le choléra, je n’ai eu qu’une crainte, non la crainte de mourir, mais la crainte, si je mourais, que mes dessins, mes broderies, mes délicats bibelots, fussent perdus, abîmés, anéantis par la désinfection, faite d’autorité. […] Ce soir retour à Paris, et visite de bureaux de journaux, où je sollicite un peu de bruit autour de ce mort illustre. […] » J’avais eu l’ingénuité de répondre au rédacteur qui me posait ces questions : « C’était une nature gaie, et la gaieté du pauvre garçon avait quelque chose de charmant, quelque chose de la gaieté enjouée et spirituelle d’un personnage de la comédie italienne. » Ce matin, j’ouvre le journal, et je lis que M. de Goncourt regardait de Nittis comme un personnage de la comédie italienne.