Le seul Zéphyre est libre, et d’un souffle amoureux Il caresse Vénus, se joue à ses cheveux ; Contre ses vêtements parfois il se courrouce. […] Il joue un personnage de bouffon dans ce poème, et Molière n’a jamais eu, aux yeux de n’importe lequel de ses trois amis, le caractère d’un bouffon.
On y voit tous les ressorts jouer en pleine lumière, jusque dans les parties mystérieuses. […] » à cet instant superbement tragique où l’on joue sa vie, je songerai à vous, soyez-en sûre : « En avant, les gars !