La tête a de la jeunesse, des grâces, de la vérité, de la noblesse.
« Quoique cet Ouvrage, dit un des* Panégyristes de Fénélon, semble écrit pour la jeunesse, & particuliérement pour un Prince, c’est pourtant le Livre de tous les âges & de tous les esprits. […] Cet Ouvrage, composé pour l’instruction du Duc de Bourgogne, son Eleve, offrira à la Jeunesse un contre-poison victorieux contre les délires de notre espece de Philosophie.