Je le croirai, par exemple, pour quelques vers qui ne me semblent que le début d’un hymne à la gloire d’Athènes : « Salut, braves105, vous qui avez remporté le grand honneur de la guerre, enfants d’Athènes, habiles cavaliers qui jadis, pour votre patrie aux belles fêtes, avez consumé votre jeunesse, en suivant un parti contraire à celui du plus grand nombre des Grecs !
C’est leur honneur ; et c’est, en outre, le signe de leur jeunesse : leurs littératures ne sont pas anciennes. […] Ô jeunesse, tes bras Sont comme lierre autour des chênes ! […] Et sa jeunesse la voici. […] Ma jeunesse le vit, dans le quartier de l’Odéon, magnifique et morne ; il se promenait avec l’allure lente de qui connaît l’inanité de la durée. […] Il exposa, en 1868, cette Jeunesse de Dante, qui est au musée du Luxembourg, jolie chose, délicatement exécutée, d’une grâce fine.