N’a-t-il pas démontré, d’une façon éclatante, qu’aux tumultueux sentiments qui agitaient la jeunesse, vers 1835, nous devions chercher une origine parmi les glorieux exploits et les héroïques guerres du Premier Empire ?
C’est que le don de sa grâce ne devait pas tarir et que sa jeunesse devait survivre à ses années.