Elles ne mettent en jeu que l’esprit : ce sont, à vrai dire, non des visions, mais des rébus.
Beyle nous dit lui-même : « Je m’arrêtais trop à jouir de ce que je sentais… Je connais si fort le jeu des passions… que je ne suis jamais sûr de rien, à force de voir tous les possibles ».