La poésie ne veut plus être une profession ambulante et foraine, comme celle du joueur de luth ; elle prétend exprimer les besoins, les passions et les intérêts du genre humain.
Ils ont la fortune et les disgrâces des événements romanesques ; trop étonnants pour instruire, il leur manque l’attrait des faits historiques, et une seule lecture en épuise l’intérêt.