Mais on se souvient toujours du dévouement par lequel Fersen vécut, dans un court instant de sa jeunesse, et à travers lequel on le verra toujours, dans l’immortalité de Celle à laquelle il s’était si absolument et si inutilement dévoué !
À chaque instant il donne Vauvenargues comme un ambitieux qui ne s’était mis à regarder les hommes que pour plus tard les gouverner.