» et à l’aventure d’enfance qui la lui inspira. […] Le critique, qui s’était cru un moment désigné pour tenir en France, comme poète, la place des lakistes anglais, songea peut-être aux lacs des Vosges, répondit au rimeur, lui conseilla de s’inspirer de Wordsworth et de Cowper.
Je ne fais cette remarque que parce qu’on met ordinairement entre les mains des jeunes gens des abregés dont ils ne tirent aucun fruit, & qui ne servent qu’à leur inspirer du dégoût.