Roger de Beauvoir dont la nature ouverte et sympathique s’imprègne des contagions aussi bien que des parfums, a dû porter sur sa pensée l’influence de la littérature générale de l’époque qu’il a trop étreinte avec le feu de son esprit. Et, en effet, éclatante d’abord dans ses Poésies de cape et d’épée, cette influence est visible encore dans ses Colombes et Couleuvres, quoique évidemment bien diminuée.
Cependant les succès de Balzac, ses influences sur notre génération littéraire et sociale, l’irradiation de plus en plus vaste et lumineuse de sa renommée, auraient dû avertir M. […] et sur le danger de ses influences !