. — Le mot de Mme de Tencin : « C’est de la cervelle que vous avez à la place du cœur » ; — et, à ce propos, du scepticisme de Fontenelle ; — qui ne consiste pas tant à croire qu’il soit impossible d’atteindre la vérité ; — qu’à la croire d’essence aristocratique ; — incommunicable à la foule ; — et d’ailleurs assez inutile. — Comment le bel esprit se retrouve dans cette conception de la vérité ; — le mondain et l’épicurien. — Si ce n’est pas cette philosophie qui a empêché Fontenelle de se concentrer dans une grande œuvre ?
Je dirais même qu’il est impossible de remplacer Préville dans ce rôle, si je ne l’avais pas vu jouer par son élève Du…, à qui je reprocherai cependant de n’être pas constamment persuadé qu’on le reçoit mufti ; et s’il voulait être sincère, il conviendrait que certain jour, en parlant bas à son voisin, il lui disait : comme cette cérémonie est longue.