Or, le romanesque prend sa source dans un exercice de l’imagination, un débordement de la représentation, un reflux ou une écume de l’action impossible ou empêchée. […] Et le jour où Gertrude a cessé d’être physiquement aveugle, le contraste entre l’erreur où elle était mêlée et la vérité à laquelle lui donne accès son sens nouveau lui rend sa destinée contradictoire et la vie impossible.
La pensée d’un danger impossible l’effrayait autant que la vue d’un péril imminent.