Un rhéteur du premier ou du second siècle imagina de codifier cette notion et d’en établir le canon.
À vrai dire, il avait du goût pour le potin, mais élégant, et filé de préférence, j’imagine, en compagnie de quelque dame sur le retour, tirée à quatre épingles et spirituelle. […] J’imagine qu’elles avaient pour la plupart un teint mat et une chevelure noire et drue, que leurs yeux brillaient, que leurs bouches s’étiraient pour sourire.