Le pays a été coupable de s’être donné un gouvernement peu éclairé et surtout une chambre misérable, qui, avec une légèreté dépassant toute imagination, vota sur la parole d’un ministre la plus funeste des guerres.
Elle était d’un vif intérêt quand elle abordait quelque point de l’histoire de « l’Empereur et Roi », mais, quand elle en venait aux uns et aux autres, il fallait se méfier des jugements que portait sur eux cet impulsif à l’imagination chimérique et à l’esprit hanté de phantasmes.