A vous qui, lasse de l’hommage Qu’on vous prodigua tant de fois, Avez tout quitté pour l’image, La sainte image de la Croix ; Et bien loin des routes mortelles Dont l’éclat vous séduisait peu, Avez replié vos deux ailes Près du tabernacle de Dieu !
De certaines beautés d’images et d’harmonie sont transportées successivement dans la plupart des langues nouvelles et perfectionnées ; mais quand le talent poétique d’une nation se développe comme à Rome, au milieu d’un siècle éclairé, il s’enrichit des lumières de ce siècle. […] Ces deux peuples se plaisent également dans les images qui conviennent aux mêmes climats.