Que l’idée de la pointe, de la fine lame, du trait, de l’aiguillon, ou même de la courte épée romaine, image du bon sens, s’éveille dans l’esprit de nos lecteurs, à voir nos guerres et nos polémiques littéraires ; mais que jamais l’idée du poing ni du bâton ne vienne en nous lisant !
Quoi de plus touchant (et, en parlant ainsi, j’ai présentes à l’esprit des images vivantes) que de voir dans un intérieur simple, modeste, ce travail intellectuel de l’homme, ce recueillement et ce silence de la pensée respecté, compris par la femme qui quelquefois même, dans un coin du cabinet et l’aiguille à la main, y assiste !