L’idéal lyonnais — nous ne savons quelle douceur rayonnante répandue là-bas chez les hommes et surtout chez les femmes — se marque bien, sinon dans la personne, du moins dans l’œuvre poétique et même dans la prose de M.
On s’est fait un modèle idéal. […] Il a parfaitement raison d’estimer que cet idéal a été réalisé par Shakespeare. […] Il prend l’idéal pour l’absolu. […] Ils ont même une conception beaucoup plus nette de Dieu comme absolu que comme idéal. […] Le christianisme s’est égaré dans la conception et la création de je ne sais quel idéal.