Partant de là on se rappelle les innombrables querelles du Stupide : « Il n’y a que la nature… Il n’y a que l’Idéal… Il n’y a que le labeur, que l’effort… Il n’y a que la spontanéité… etc. » Le couchant est-il pourpre, doré, vert ou violet ?
On y voit réalisé le rêve le plus naturel et le plus sincère de l’humanité, le rêve d’Israël si vous voulez (mais, sur ce point, toute l’humanité est Israël), un idéal qui, tout en étant celui de beaucoup de bonnes âmes, est aussi, n’en doutez point, celui de Jean Hiroux ou de Pranzini : le désintéressement solidement renté, la vertu millionnaire.