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414. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Histoire de la Révolution »

On y rencontre, dans ce style qui devrait être inexorable, beaucoup de taches d’humanité. Je sais bien que ces taches d’humanité sont encore des taches de rhétorique.

415. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Balzac »

Je ne sache que Lope de Vega, qui, avec ses dix-huit cents pièces de théâtre, ait plus écrit que Balzac, mais Lope de Vega est plus un nom qu’on prononce qu’une chose intégrale qui se lit, et il n’a pas fait, dans ses œuvres, vingt volumes qui puissent égaler les vingt volumes de la Comédie humaine, qui sont immortels, et qui, si le vieux monde ne tombe pas en enfance, resteront, comme l’Iliade, sous les yeux et dans les préoccupations de l’humanité. […] Quand on est un homme de la portée de Balzac, on appartient à l’humanité tout entière.

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