Dans l’impossibilité de nous livrer aux fonctions et aux amusemens de la vie champêtre, d’errer dans une campagne, de suivre un troupeau, d’habiter une chaumière, nous invitons à prix d’or et d’argent le pinceau de Wouwermans, de Berghem ou de Vernet à nous retracer les mœurs et l’histoire de nos anciens aïeux.
Démiourge, pour éviter chez eux toute velléité de révolte et de peur qu’ils ne s’envolent nous rejoindre, leur a farci l’intellect d’une foule d’histoires saugrenues touchant les démons, de sorte qu’ils nous voient sous des formes horribles… Je gage qu’à présent je leur apparais un dragon crachant des flammes.