Mais, puisqu’en fait je subis l’impression de toutes choses, on peut supposer, avec Leibniz et Laplace, que, si je pouvais déployer tout ce qui est en moi à l’état d’enveloppement et de confusion, et si certains effets ne se neutralisaient pas dans la composition des forces, je finirais par retrouver en moi-même l’action de l’univers et le raccourci de son histoire.
Dans cette originale pose, elle conte au petit Jacques, assis à côté d’elle, dans un fauteuil de paille, elle conte une de ces histoires merveilleuses, qu’elle imagine si joliment.