/ 2685
427. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Arthur de Gravillon »

C’est un homme heureux. Il a la grâce charmante et phénoménale d’être heureux ! Indépendant par la fortune, marié à une femme qui pourrait faire taire la Muse, ce qui est plus fort que de l’inspirer, heureux comme Byron aurait désiré l’être et comme il ne le fut jamais, il pouvait envoyer promener les lettres et ne les aimer qu’en sybarite délicat et nonchalant, comme on aime ce qui pare la vie. — les parfums, la musique et les fleurs.

428. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. —  première partie  » pp. 126-268

Jeune et bon citoyen, puissiez-vous être heureux dans toute la carrière que vous avez à parcourir ! […] C’est une des personnes qui vous aiment et vous apprécient le mieux, et que je voudrais le plus voir heureuse ; et je sais combien des preuves de votre amitié y contribueraient. […] Les insectes qui bourdonnent appellent la rêverie et invitent à un calme heureux. […] Fauriel, qui dut se trouver si heureux du triomphe de son ami, avait assisté de près à la composition de l’ouvrage. […] L’effet de cette publication en France fut des plus heureux et des plus favorables à la cause qu’elle voulait servir.

/ 2685